Façade de la Villa du Taur - © Franck Sonnet
Quand on arrive en ville… à la Villa du Taur, au cœur de Toulouse
Par Laurence Gounel
Quand Nicolas Andrieu et Thierry Gard choisissent de se lancer dans l’hôtellerie indépendante, c’est en partant de la conviction qu’un hôtel ne peut être impersonnel.
Leur ambition ? Commencer l’aventure « des hôtels de cœur et d’esprit » avec cette bâtisse idéalement située aux pieds de la Basilique Saint-Sernin et dont la façade aux briques rouges, typique de la ville rose, annonce la couleur : se rapprocher de l’esprit d’une maison d’hôtes, avec une identité forte.
En réduisant le nombre de chambres à dix-sept pour être le plus disponible et à l’écoute possible, en décorant chacune d’entre elles différemment, avec du mobilier signé et des objets chinés dans les ventes aux enchères ou créés sur-mesure par des artisans… Enfin, en partageant leur passion commune : le street art, avec des toiles signées d’artistes locaux ou internationaux comme Banksy, Keith Haring… toutes exposées jusque dans les chambres.
Ce qui fait la différence : les deux vélos à louer 10 € la journée, le petit-déjeuner à la carte avec boulangerie et fromages des seuls MOF de la ville, la table et le brunch à la carte servis en quatre temps, le bar à gins avec quelques flacons rares.